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Il y a plus de jour à poindre

2011
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
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Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
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Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
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Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
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Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre

extraits

Dans le cadre d’une résidence mise en place par La Métive, j’ai travaillé au printemps 2011 sur une série d’images contemplatives et silencieuses.
Le paysage idéal / l’idée du paysage - travail porté depuis longtemps, nourris de lectures.
J’y interroge mon rapport à la Nature. Ou le paysage comme espace fantasmé, propice au réenchantement.
«Je peux traverser un paysage et être sensible à ses charmes. Je peux jouir de la clémence de l’air, de la fraîcheur des prairies (...) Mais ma disposition d’esprit peut alors connaître un changement soudain. (...) Je commence à en former un tableau. Je suis maintenant entré dans un nouvel univers - l’univers non plus des choses vivantes mais des «formes vivantes».
 Je vis non plus dans la réalité immédiate des choses mais dans le rythme des formes spatiales, dans l’harmonie et le contraste des couleurs, dans l’équilibre de l’ombre et de la lumière.
 L’expérience esthétique consiste à s’absorber ainsi dans l’aspect dynamique de la forme».
Ernst Cassirer, Essai sur l’homme

extraits

Dans le cadre d’une résidence mise en place par La Métive, j’ai travaillé au printemps 2011 sur une série d’images contemplatives et silencieuses.
Le paysage idéal / l’idée du paysage - travail porté depuis longtemps, nourris de lectures.
J’y interroge mon rapport à la Nature. Ou le paysage comme espace fantasmé, propice au réenchantement.
«Je peux traverser un paysage et être sensible à ses charmes. Je peux jouir de la clémence de l’air, de la fraîcheur des prairies (...) Mais ma disposition d’esprit peut alors connaître un changement soudain. (...) Je commence à en former un tableau. Je suis maintenant entré dans un nouvel univers - l’univers non plus des choses vivantes mais des «formes vivantes».
 Je vis non plus dans la réalité immédiate des choses mais dans le rythme des formes spatiales, dans l’harmonie et le contraste des couleurs, dans l’équilibre de l’ombre et de la lumière.
 L’expérience esthétique consiste à s’absorber ainsi dans l’aspect dynamique de la forme».
Ernst Cassirer, Essai sur l’homme

Vincent Leroux, Il y a plus de jour à poindre
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